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«Ma mère n’est pas morte!»: Thomas Dutronc dénonce les méthodes de certains médias

Une rumeur annonçait le décès de Françoise Hardy ce week-end. Elle a été formellement démentie par son fils !

PourCiné-Télé-Revue

C’est un véritable coup de gueule qu’a poussé Thomas Dutronc ce samedi 19 juin, même s’il a choisi l’humour pour aborder le problème. « MA MÈRE N’EST PAS MORTE ! Je viens de l’avoir au téléphone à l’instant. En revanche, tout n’est pas rose. » a-t-il d’abord annoncé en légende d’une photo postée sur Instagram, sur laquelle Françoise Hardy et lui apparaissent hilares, avant de dédramatiser, en partant sur une histoire délirante. « En effet la porte de son congélateur a été mal fermée, un paquet de légumes surgelés à l’air d’être à l’origine de ce drame… » a-t-il commencé, avant de continuer, « Ma maman ce matin avait tout d’abord remarqué une flaque au pied de son frigo. Toute sa livraison de [surgelés] d’hier est fichue. » Finalement, il a envoyé ce message à ceux qui s’étaient inutilement inquiétés : « Envoyez plutôt vos condoléances à ses surgelés merci ! »

Reprenant brièvement son sérieux, le chanteur a ensuite tenu à pointer du doigt ces quelques journalistes « qui font un travail remarquable sans jamais vérifier leurs sources » : « Ça demande du courage… » Dans les commentaires de sa publication, il a reçu le soutien de plusieurs personnalités, saluant sa démarche, mais aussi son style ! « Je pense à toi, à vous. Bravo pour ce message qui m’a bien fait marrer » a, par exemple, souligné Nolwenn Leroy, alors que Nikos Aliagas s’exclamait : « Je vous aime les Dutronc Hardy… tellement plus que les surgelés »

Il semblerait que la rumeur du décès de Françoise Hardy soit née après la publication, le 15 juin, d’une interview qu’elle avait donnée à Femme Actuelle, et dans laquelle elle se disait « proche de la fin ». La chanteuse y était notamment revenue sur les terribles effets secondaires de la radiothérapie à laquelle elle est soumise, suite à son cancer de système lymphatique. « Ils me pourrissent la vie depuis deux ans et m’affaiblissent de plus en plus à cause de l’absence de salive, du manque d’irrigation de toute la zone ORL, d’un assèchement généralisé et des hémorragies nasales, des détresses respiratoires » avait-elle révélé au magazine. Dans ce même entretien, l’épouse de Jacques Dutronc a évoqué la possibilité d’une euthanasie, procédure illégale en France, mais pour laquelle elle milite depuis des années. « J’ai peur aussi de l’immense chagrin de la forme de séparation avec les êtres qu’on aime le plus au monde qu’est la mort. » avait-elle confié.

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