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Jacques Legros a-t-il vraiment fait un «coup de pu**» à Jean-Pierre Pernaut? Le joker du 13h de TF1 répond à Nathalie Marquay!

Nathalie Marquay va-t-elle surenchérir ou est-ce la fin de ce ping-pong médiatique ?

PourCiné-Télé-Revue

Jacques Legros a très récemment sorti un livre, « Derrière l’écran : 40 ans au cœur des médias », dans lequel il balance sur le monde de la télévision.

Celui qui a très longtemps été le joker de Jean-Pierre Pernaut, présentateur du 13h de TF1 décédé en mars dernier d’un cancer du poumon, a d’ailleurs évoqué sa relation avec le journaliste. « Nous n’étions pas amis », confie-t-il.

Durant le confinement, Jean-Pierre Pernaut a présenté le journal depuis sa maison, en raison de son état de santé fragile. C’est à ce moment-là que certains comportements du mari de Nathalie Marquay ont dérangé Jacques Legros. « Il voulait garder le premier rôle et sollicitait l’équipe plus que nécessaire. (…) Il voulait de plus en plus prendre la main sur l’ensemble du journal. » Et de poursuivre : « Je commençais à bouillir intérieurement, jusqu’au jour où j’ai éclaté, rassemblé mes affaires et repris le chemin du parking et de ma voiture. Puisqu’il voulait faire le journal à ma place, qu’il vienne le faire ! »

Nathalie Marquay avait alors tenu à réagir à ses propos : « J’ai complètement halluciné et surtout, monsieur Jacques Legros oublie qu’il n’était que son joker. Il se permet de se plaindre qu’à cette époque JP veuille garder la main sur le contenu du journal. Mais c’est qui qui depuis plus de 30 ans a donné le ton du 13h et à qui on a attribué les résultats d’audiences ? », expliquait-elle, en colère, dans « Le morning sans filtre » sur Virgin Radio. Et d’enchaîner en accusant Jacques Legros d’avoir fait des « coups de pu** » à Jean-Pierre Pernaut. « Pendant le confinement, Jean-Pierre devait avoir 15 minutes d’antenne. Et chaque fois, Jacques Legros faisait des sujets de plus en plus longs. Vers la fin il ne lui restait plus que six minutes d’antenne. »

Jacques Legros, manifestement assez étonné de la réaction de la veuve de Jean-Pierre Pernaut, a tenu à réagir, sans vouloir envenimer la situation : « C’est son problème, elle est libre de dire tout ce qu’elle veut. Ce qui me gêne toujours, c’est quand on commente sans avoir lu (du livre). Ni elle, ni l’intervieweur n’avaient lu le livre », raconte-t-il, au Figaro.

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