«Affaire conclue»: Stéphane Vanhandenhoven fait des révélations sur le nouveau prime, «des records vont être battus»

Pouvez-vous nous en dire plus sur ce nouveau prime time d’« Affaire conclue » ?

Dans la forêt d’Ermenonville, sept passionnés ou amateurs d’objets affronteront sept acheteurs emblématiques de l’émission : Caroline Margeridon, Damien Tison, Aurore Morisse, Anne-Catherine Verwaerde, Laurent Journo, Caroline Pons et moi-même.

Quelle sera la difficulté de ce « Grand défi » ?

Au plus il y a d’intervenants, au plus il y a d’enchères. On a aussi envie qu’un bel objet revienne aux acheteurs d’« Affaire conclue » plutôt qu’à l’un des sept collectionneurs.

Qui sont-ils ?

Ce sont des gens très pointus qui ont chacun une spécialité. Certains sont des collectionneurs, d’autres des marchands. Comme on ne les connaît pas, on ne sait pas comment ils vont réagir face à un objet. Il y aura beaucoup de suspense !

Lors du précédent prime, les enchères s’étaient envolées avec un miroir adjugé 127000 euros. Des records seront-ils encore battus ?

Des records personnels et historiques, oui. Il faut dire que les objets qui y seront présentés sont exceptionnels : une statuette antique du IIIe siècle avant J.-C., une œuvre d’art naturelle, dite « Gogotte », de -30000 ans, un guéridon signé Louis Majorelle, une fontaine Vallauris, une Renault Floride de 1961…

Quel est votre record d’achat dans « Affaire conclue » ?

Comme l’émission n’a pas encore été diffusée, je ne peux pas trop en parler mais j’ai acheté récemment dans une quotidienne un objet pour 6500 euros. De manière générale, j’arrive à m’arrêter à temps durant les enchères.

Quelles pièces recherchez-vous en ce moment ? Quelles sont les tendances ?

En ce moment, les gens recherchent des objets utiles : une table, un bureau, un fauteuil… Les montres de marque vintage, les objets de luxe et de belle facture marchent toujours bien. En ce moment, je recherche du design utilitaire italien, dont la cote monte très fort, mais aussi des objets en bois qui correspondent à un retour à la nature.

Vous avez créé un site Internet, stephaneaffaireconclue.com : de quoi s’agit-il ?

J’étais très souvent sollicité par email et sur les réseaux sociaux par des personnes souhaitant avoir mon avis sur l’un de leurs objets. Cela me prenait 3 ou 4 heures par jour. L’idée de ce site est que le contact se fasse plus directement : il suffit que la personne y glisse la photo de son objet et je lui réponds. Je lui indique souvent vers qui se diriger pour le vendre. Depuis le lancement du site, je reçois cinquante demandes par jour.

« Affaire conclue », 12 octobre, 21h10, France 2.